« L’heure des comptes Covid sonnera un jour », selon l’AIMSIB (Association Internationale pour une médecine Scientifique, Indépendante et Bienveillante) qui représente les plaignants, de concert avec l’association BonSens.org, dans le contexte d’une plainte déposée par Maître Virginie de Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris. Le dépôt a été effectué le 4 novembre 2021 auprès du Doyen des juges d’instruction.
Selon l’AIMSIB, « Trop c’est trop ! Le monde libre de toute influence pharmaceutique a vu ce mois-ci arriver la limite du tolérable en terme de recul de ses libertés. »
« Prorogation de passes sanitaires absolument imbéciles, violations perpétuelles des droits du public à une information contradictoire, restriction généralisée des autorisations de déplacement, intrusion permanente des industriels du médicament dans la gestion des politiques publiques, empoisonnement des population par administration forcée de pseudo-vaccins totalement inefficaces quelques semaines après injections, certainement non conformes au droit européen, épouvantablement toxiques, refus catégorique de reconnaître l’existence de thérapeutiques tant préventives que curatives, répression féroce de tous les opposants à la politique édictée par Pfizer et ses employés, mais où va le monde ? »
« La France Libre et quelques-un de ses représentants ont choisi de saisir la justice en désespoir de cause. Si celle-ci décide d’instruire, les conséquences seront incalculables en terme de retour à une démocratie respectueuse de ses fondamentaux essentiels… »
L’acte d’accusation, faisant référence au code pénal, invoque les chefs d’accusation suivants :
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Certains lecteurs seront peut-être surpris du langage utilisé, qui désigne les injections comme « épouvantablement toxiques ». Il faut toutefois voir que les injections censées lutter contre la COVID, qui sont frauduleusement présentées au public comme des vaccins comme les autres, comportent des taux d’effets indésirables très importants qui auraient probablement entraîné depuis longtemps leur retrait si on avait des agences de pharmacovigilance indépendantes et transparentes.
J’ai écrit « probablement » dans la phrase qui précède, mais je n’hésite pas à dire que la ségrégation vaccinale (le « pass ») ainsi que l’administration de ces injections aux enfants sont des propositions gouvernementales très certainement illégitimes et irresponsables.
Richard Gendron, anthropologue